Robe La Parisienne

 

 

 

Vous savez cette femme libre et indépendante qui s’assume pleinement. Tantôt working-girl, tantôt maman. Capable de courir aussi vite en talons aiguilles qu’en running. Cette femme qui a ce petit grain de nonchalance, cette classe naturelle quelle que soit sa tenue. Une ligne à la YSL et un style à la Charlotte Gainsbourg.

La parisienne en noir et blanc, en robe ou en tailleur mais aussi en jean avec un cuir.
Elle fume, elle boit, elle a une peau nette (malgré  la pollution et le tabac… ) les ongles vernis.
En deux mots: LA CLASSE (ou MA MAMAN…)

Voilà mon image de La Parisienne, ce modèle de femme qui me fait rêver, je j’idéalise au possible. Cette femme que je n’égalerai jamais.
Sauf que j’aime la couleur, beaucoup, trop parfois, je ne suis ni working-girl ni maman. J’ai l’air d’une manouche en jogging et courir… Moi? Non soyons sérieux! Il est clair que les runnings ne font ABSOLUMENT pas partie ma garde robe. Je n’ai pas la ligne YSL alors le look de Charlotte il est loin loin loin.
Du coup la Parisienne je l’idolâtre, je la regarde de loin avec plein d’admiration et je me dis que je ne lui ressemblerai jamais.

Vous l’avez compris la Parisienne est pour moi un mythe. Alors quand Louis Antoinette a sorti son nouveau patron intitulé « La Parisienne » je ne pouvais pas passer à côté.
D’autant plus qu’à l’occasion d’un concours pour la St Valentin, l’enseigne avait mis le patron PDF en téléchargement gratuit.
Un signe tout ça… Il me la fallait.
Ni une ni deux, j’ai téléchargé le patron, je l’ai imprimé et je l’ai scotché.
Premier avantage, pas de marge autour de la feuille à découper, ce fût presque le bonheur à assembler.
Par le plus grand des hasard (on y croit…) je me suis retrouvée dans le magasin de tissus à Nantes et toujours de façon inexpliqué j’avais entre les doigts une crèpe de laine dans un vert sublime, juste parfait pour La Parisienne (la patron, pas la personne hein ?!)
D’ailleurs le patron…
Louis Antoinette a proposé une robe, une coupe simple, épurée mais avec une pointe d’originalité.
Une impression de 2 pièces avec son haut dans le tissus principal qui n’est pas relié à la jupe, mais une vrai robe puisque la doublure lie le tout.
Louis Antoinette lui confère un niveau 2/4 qui correspond à « couturière en devenir« . Parfait pour un Parisienne trop pressée pour coudre des heures mais trop exigeante pour porter un drap avec 2 trous… LA CLASSE je vous dis!
Et la confection de la robe confirme tout ça. De la coupe à l’ourlet final en 1 week-end cela peut être fait.
Pas de points particulièrement compliqués mis à part la fermeture invisible.
Mais pour ça j’ai investi et franchement ça valait, vaut, le coup.
Du coup j’ai peaufiné les finitions, avec:
– un point de surjet aux endroits où il fallait surjeter (et sans surjeuteuse…)
– un ourlet invisible sur le haut et sur la jupe pour accentuer le côté tailleur.
J’ai aussi fait quelques modifications pour ma participation au concours #hacklamode. J’ai creusé l’encolure et resserré le haut principal sur les côtés.
Et cette robe je l’aime d’amour, elle est déclinable à l’infini. En fonction de la matière choisie et des modifications vous aurez une robe totalement personnalisée. Faite un tour sur Instagram avec le #hacklamode vous verrez plein de réalisations toutes plus jolies les unes que les autres.

Pour finir je vous laisse avec les photos qui seront plus parlantes qu’un long discours. Merci à JuePhotography pour ces photos!

Le patron vous emballe pour le commander c’est par ICI!!